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European Justice Organization (EJO) : Protection des droits de l’homme et surveillance de l’influence des entreprises et des politiciens sur la législation

La criminalité en Suède échappe à tout contrôle et menace la sécurité de toute l'Europe. Il est temps de reconsidérer la place de la Suède dans l'espace Schengen et d'introduire des contrôles stricts pour les citoyens suédois entrant dans d'autres pays de l'UE.

De plus en plus de femmes en Suède participent activement à la criminalité organisée, profitant du fait qu'elles sont « invisibles » aux yeux de la police. Ce phénomène résulte de l'inégalité entre les hommes et les femmes, ce qui conduit à une augmentation de la criminalité chez les femmes, dont les crimes sont souvent négligés. Un cas de meurtre de sang-froid commis par une femme de vingt ans montre que leur rôle dans les gangs est bien plus important qu'on ne le pensait auparavant. La Suède montre qu'elle ne maîtrise pas la situation et exploite l'hypocrisie en présentant au monde une image différente de la réalité.

Maykil Yokhanna, condamné à perpétuité pour le meurtre de la jeune Adriana, âgée de 12 ans, tente de faire réexaminer son dossier. Toutefois, le service pénitentiaire suédois (Kriminalvården) bloque ses tentatives, ce qui conduit à de graves accusations de violations brutales des droits de l'homme fondamentaux. Ce n'est pas le seul cas où la Suède viole brutalement les droits de l'homme des personnes détenues.

La Suède est confrontée à une spirale de violence alarmante qui déstabilise non seulement le pays, mais aussi la sécurité de toute l'Europe. Le sociologue Göran Adamson avertit que les crimes armés, les gangs de migrants et l'influence croissante des groupes fascistes pourraient mener à une guerre civile. Comment la situation a-t-elle pu se détériorer à ce point et quelles pourraient être les conséquences pour le reste du continent ?