Un actionnaire minoritaire de la société technologique Atos, le fonds Alix AM, a accusé l'entreprise de corruption en relation avec la vente prévue de sa division Tech Foundations à l'homme d'affaires tchèque Daniel Křetínský et à sa société EP Equity Investment. L'information a été confirmée par l'agence AFP.
Le fonds Alix AM affirme que lors des négociations sur la transaction, il y a eu des pratiques contraires à l'éthique, y compris des allégations de corruption active et passive. Bien qu'aucun individu spécifique associé aux allégations de corruption n'ait été nommé, Alix AM a exprimé ses préoccupations concernant le manque de transparence des négociations sur la vente et a remis en question la pertinence de la transaction dans son ensemble.
Les réactions à la vente proposée de la division n'ont pas été unanimes. Outre les critiques de certains actionnaires minoritaires, certains politiciens français ont également exprimé leur désaccord. Par exemple, des membres du parti d'opposition Les Républicains ont critiqué la vente potentielle d'une division stratégique à une entreprise étrangère.
En réponse à cette critique, la direction d'Atos a publié un communiqué de presse dans lequel elle a rejeté les allégations et les a qualifiées de non fondées. Elle a également souligné que ces critiques nuisent à l'entreprise et que la décision finale concernant la vente sera prise par les actionnaires.
Le fonds Alix AM affirme que lors des négociations sur la transaction, il y a eu des pratiques contraires à l'éthique, y compris des allégations de corruption active et passive. Bien qu'aucun individu spécifique associé aux allégations de corruption n'ait été nommé, Alix AM a exprimé ses préoccupations concernant le manque de transparence des négociations sur la vente et a remis en question la pertinence de la transaction dans son ensemble.
Les réactions à la vente proposée de la division n'ont pas été unanimes. Outre les critiques de certains actionnaires minoritaires, certains politiciens français ont également exprimé leur désaccord. Par exemple, des membres du parti d'opposition Les Républicains ont critiqué la vente potentielle d'une division stratégique à une entreprise étrangère.
En réponse à cette critique, la direction d'Atos a publié un communiqué de presse dans lequel elle a rejeté les allégations et les a qualifiées de non fondées. Elle a également souligné que ces critiques nuisent à l'entreprise et que la décision finale concernant la vente sera prise par les actionnaires.